Une réponse politique raisonnée conduit à une vision de la sauvegarde de l’environnement :
- progressiste (énergie renouvelable rentable sans subvention),
- positive (Vive l’automobile… véhicule personnel propre !),
- acceptée (production d’énergie sans gêne pour les habitants),
- mobilisatrice (emplois, réindustrialisation et fierté nationale).
Une réponse politique émotionnelle conduit à une vision de la sauvegarde de l’environnement :
- régressive (type croissance zéro),
- répressive (révoltant les bonnets rouges),
- gaspilleuse (infrastructure inutile type canal Seine Escaut),
- caricaturale (ours pyrénéen, loup alpin, lamantin guadeloupéen).